j'entends ça des fois qu'il n'y a rien pour rien,

que les choses arrivent comme elles arrivent,

que c'est comme ça, que l'on n'y peut rien du tout,

comme pour tout justifier sans rien expliquer du tout.

Pourtant la vie a un début et une fin, une direction...

Si l'on peut affirmer que de sa finalité la vie prend un sens,

alors sait-on vraiment où aller?

Ce n'est pas parce que tout a un sens que tout a un but, 

car si tout est déterminé d'avance, pourquoi vivre ?

"Choisir est un acte profond,

qui réside dans le fait de choisir le fait même de choisir

-inspiré de Jean-Paul Sartre (1905-1980)

de penser profondément au fondamental du vital ; avoir le choix de choisir.

Est-ce possible de choisir pour soi sans laisser les évenements extérieurs

choisir pour moi?  Ai-je choisi de vivre vraiment ou de fuir devant le choix?

En ai-je saisi toute la différence? Quel-est le sens que je donne à ma vie?

Parce qu'elle est création la vie est ouverture à l'inconnu, je suis libre et,

il faut se rappeler ce que l'on oublie toujours :  De vivre pour être libre...

Sujet libre sur le choix de la liberté

ou sur la liberté du choix :

Pouvoir exister et être maître de soi.

Liberté de penser qu' être libre c'est exister,

être soi c'est d'être libéré, de vaincre pour vivre.

Vivre pour être libre, libre de choisir 

choisir d'être libre pour vivre...

Vaincre pour vivre

Si l'on nourrit un certain nombre de préjugés contre l'abstraction,

l'on nourrit un certain nombre d'illusion concernant le concret, mais

s'il ne nous apprend rien de nouveau sur la diversité du réel, le rêve

concretise l'abstraction du réel, le concret reste dans l'abstraction,

et demain ce qu'il y aura de nouveau c'est l'éclat d'éternité du jour,

l'infusion d'une pensée éphémère qui n'est pas ce que l'on croit mais

nous renvoie à la diversité du réel, à la vie créatrice secrète

de la mémoire qui court au fond des choses,

de la part profonde de nous-mêmes